Тренировочный вариант Яндекс.ЕГЭ по французскому языку № 14 за 2016 год

A. État indépendant et souverain situé aux pieds des Alpes du Sud et bordant la Méditerranée, la Principauté de Monaco partage ses frontières terrestres avec plusieurs communes françaises des Alpes-Maritimes: La Turbie, Roquebrune-CapMartin, Cap d'Ail et Beausoleil.

B. Dès la plus haute antiquité, le Rocher de Monaco a servi de refuge aux populations primitives. Cependant, l'histoire de Monaco commence véritablement à partir du XIII siècle. Le 10 juin 1215 marque la naissance de la future Principauté, ce jour-là, la famille génoise des Gibelins pose la première pierre de la forteresse qui est aujourd'hui le Palais Princier. L'histoire de Monaco est associée depuis 700 ans à celle de la Famille Grimaldi, qui a célébré en 1997, l'anniversaire de son accession au destinée de l'actuelle Principauté.

C. La langue officielle est le français. L'italien et l'anglais sont aussi couramment pratiqués. La langue traditionnelle monégasque, «le monegù», est utilisée par les «Anciens» et est enseignée dans les écoles de la Principauté.

D. La devise de Monaco et de ses Princes: «Déo Juvante» (Avec l'aide de Dieu) La religion catholique est la religion d'État. Cependant, la liberté des cultes est garantie par la Constitution et de nombreuses confessions sont présentes à Monaco.

E. La population de la Principauté compte (selon le recensement officiel de 2009) 35.646 habitants, qui comprennent 7.634 Monégasques, 10.029 Français, 6.596 Italiens. Plus de 125 nationalités sont représentées. Monaco et l'ensemble des communes limitrophes représentent une population d'environ 95.515 habitants.

F. Bénéficiant d'un ensoleillement exceptionnel, la Principauté de Monaco connait des hivers doux et des étés sans excès de chaleur. En effet, en soixante ans d'observations météorologiques, la moyenne des températures s'élève à plus de seize degrés. Le climat, méditerranéen par excellence, fait de Monaco un site de prestige, où la vie est agréable tout au long des saisons. Il est à noter que les stations de ski des Alpes du Sud sont à moins d'une heure de voiture.

G. Au cœur de la Principauté, édifié sur l’emplacement d’une forteresse établie par les Génois en 1215, le Palais Princier abrite fastes et splendeurs qui retracent sept siècles de souveraineté ininterrompue. Sa visite constitue un voyage à travers les siècles, depuis la Renaissance jusqu’à l’époque napoléonienne. C’est sur la Place du Palais que se déroule chaque jour, à 11h55 précises, le relève de la Garde des Carabiniers du prince, rituel immuable qui attire des milliers de spectateurs conquis.

D’après www.monte-carlo.mc.

La Géode (A)________, fête ses vingt-cinq ans le 6 mai. Ce monument en forme de géode (d'où son nom) a attiré en vingt-cinq ans plus de 20 millions de spectateurs. Il faut dire que (B)________: il mesure pres de mille mètres carrés! La salle est inclinée de 27^o par rapport à l'horizon, et l'écran de 30^o. Une fois installé, tu as l'impression d'être dans le film! Pour cet anniversaire, la Géode propose des tarifs préférentiels (C)________. Au programme de cette semaine, d'abord, des films à sensations (D)________ au sommet des montagnes ou de surfer sur les vagues tahitiennes. Puis (E)________ du monde: le film L'Inde, royaume du tigre t'emmène sur des terres sauvages. Si tu veux en savoir plus, (F)________?

Les études ne sont plus réservées aux jeunes et les facultés françaises ouvrent leurs portes aux plus âgés. L’Université inter-âge offre aux adultes qui en ont le temps, la possibilité de venir «encore» ou «enfin» se cultiver. Ce phénomène de société touche au moins 250 000 personnes dans toute la France. Pourquoi cet engouement pour le retour sur les bancs de l’Université?

L’espérance de vie s’est considérablement allongée. La retraite, voire la préretraite, marquant la cessation des activités professionnelles, libère des hommes et des femmes encore jeunes – 60 / 65 ans – des contraintes de la vie dite active: enfin, on a le temps, et ce temps, on a le souci de le remplir le plus intelligemment possible. La connaissance, quels que soient l’âge et la formation initiale de chacun, est le seul moyen d’élever son esprit et de cultiver à la fois sa personnalité et sa sociabilité.

Les cours proposés sontils les mêmes que ceux que suivent les «vrais» étudiants, ceux qui entrent à l’université pour préparer leur avenir et en sortent avec des diplômes qui sont censés leur ouvrir les portes de la vie active? Les amphithéâtres des facultés de Lettres, de Droit, de Médecine, de Sciences... voientils s’asseoir côte à côte le grandpère et le petitfils tout juste bachelier? L’université a compris que la course aux diplômes et à la réussite, avec le stress qu’elle engendre, n’est plus de mise pour ces étudiants d’un «autre âge». Si l’on fréquente l’université, ce n’est plus par obligation mais par plaisir, qui rime avec désir, et l’on s’y presse le jour de la rentrée solennelle (et pourquoi pas festive!). Voir des centaines de personnes – et les effectifs connaissent un rajeunissement certains – assises sur les bancs des «amphis», debout, massées dans les escaliers ou les entrées faute de places, ne saurait laisser indifférent. Les conférences succèdent aux cours, les ateliers aux labos : la littérature étrangère ou française, la philosophie, les arts, l’histoire des sociétés ou des civilisations, l’astronomie et la géologie... L’étudiant de l’université inter âge court vers la culture et, avec le même bonheur, vers les terrains de golf, les chemins de randonnées, les salles de gymnastique ou de yoga.

L’Université inter-âges n’auraitelle pas repris les recettes de Montaigne pour «faire un homme de bien»: «ce n’est pas assez de lui raidir l’âme, il lui faut aussi raidir les muscles»? Mais n’estil pas vrai que ces étudiants ont «encore» et «enfin» le temps pour le faire.

Les études ne sont plus réservées aux jeunes et les facultés françaises ouvrent leurs portes aux plus âgés. L’Université inter-âge offre aux adultes qui en ont le temps, la possibilité de venir «encore» ou «enfin» se cultiver. Ce phénomène de société touche au moins 250 000 personnes dans toute la France. Pourquoi cet engouement pour le retour sur les bancs de l’Université?

L’espérance de vie s’est considérablement allongée. La retraite, voire la préretraite, marquant la cessation des activités professionnelles, libère des hommes et des femmes encore jeunes – 60 / 65 ans – des contraintes de la vie dite active: enfin, on a le temps, et ce temps, on a le souci de le remplir le plus intelligemment possible. La connaissance, quels que soient l’âge et la formation initiale de chacun, est le seul moyen d’élever son esprit et de cultiver à la fois sa personnalité et sa sociabilité.

Les cours proposés sontils les mêmes que ceux que suivent les «vrais» étudiants, ceux qui entrent à l’université pour préparer leur avenir et en sortent avec des diplômes qui sont censés leur ouvrir les portes de la vie active? Les amphithéâtres des facultés de Lettres, de Droit, de Médecine, de Sciences... voientils s’asseoir côte à côte le grandpère et le petitfils tout juste bachelier? L’université a compris que la course aux diplômes et à la réussite, avec le stress qu’elle engendre, n’est plus de mise pour ces étudiants d’un «autre âge». Si l’on fréquente l’université, ce n’est plus par obligation mais par plaisir, qui rime avec désir, et l’on s’y presse le jour de la rentrée solennelle (et pourquoi pas festive!). Voir des centaines de personnes – et les effectifs connaissent un rajeunissement certains – assises sur les bancs des «amphis», debout, massées dans les escaliers ou les entrées faute de places, ne saurait laisser indifférent. Les conférences succèdent aux cours, les ateliers aux labos : la littérature étrangère ou française, la philosophie, les arts, l’histoire des sociétés ou des civilisations, l’astronomie et la géologie... L’étudiant de l’université inter âge court vers la culture et, avec le même bonheur, vers les terrains de golf, les chemins de randonnées, les salles de gymnastique ou de yoga.

L’Université inter-âges n’auraitelle pas repris les recettes de Montaigne pour «faire un homme de bien»: «ce n’est pas assez de lui raidir l’âme, il lui faut aussi raidir les muscles»? Mais n’estil pas vrai que ces étudiants ont «encore» et «enfin» le temps pour le faire.

Les études ne sont plus réservées aux jeunes et les facultés françaises ouvrent leurs portes aux plus âgés. L’Université inter-âge offre aux adultes qui en ont le temps, la possibilité de venir «encore» ou «enfin» se cultiver. Ce phénomène de société touche au moins 250 000 personnes dans toute la France. Pourquoi cet engouement pour le retour sur les bancs de l’Université?

L’espérance de vie s’est considérablement allongée. La retraite, voire la préretraite, marquant la cessation des activités professionnelles, libère des hommes et des femmes encore jeunes – 60 / 65 ans – des contraintes de la vie dite active: enfin, on a le temps, et ce temps, on a le souci de le remplir le plus intelligemment possible. La connaissance, quels que soient l’âge et la formation initiale de chacun, est le seul moyen d’élever son esprit et de cultiver à la fois sa personnalité et sa sociabilité.

Les cours proposés sontils les mêmes que ceux que suivent les «vrais» étudiants, ceux qui entrent à l’université pour préparer leur avenir et en sortent avec des diplômes qui sont censés leur ouvrir les portes de la vie active? Les amphithéâtres des facultés de Lettres, de Droit, de Médecine, de Sciences... voientils s’asseoir côte à côte le grandpère et le petitfils tout juste bachelier? L’université a compris que la course aux diplômes et à la réussite, avec le stress qu’elle engendre, n’est plus de mise pour ces étudiants d’un «autre âge». Si l’on fréquente l’université, ce n’est plus par obligation mais par plaisir, qui rime avec désir, et l’on s’y presse le jour de la rentrée solennelle (et pourquoi pas festive!). Voir des centaines de personnes – et les effectifs connaissent un rajeunissement certains – assises sur les bancs des «amphis», debout, massées dans les escaliers ou les entrées faute de places, ne saurait laisser indifférent. Les conférences succèdent aux cours, les ateliers aux labos : la littérature étrangère ou française, la philosophie, les arts, l’histoire des sociétés ou des civilisations, l’astronomie et la géologie... L’étudiant de l’université inter âge court vers la culture et, avec le même bonheur, vers les terrains de golf, les chemins de randonnées, les salles de gymnastique ou de yoga.

L’Université inter-âges n’auraitelle pas repris les recettes de Montaigne pour «faire un homme de bien»: «ce n’est pas assez de lui raidir l’âme, il lui faut aussi raidir les muscles»? Mais n’estil pas vrai que ces étudiants ont «encore» et «enfin» le temps pour le faire.

Les études ne sont plus réservées aux jeunes et les facultés françaises ouvrent leurs portes aux plus âgés. L’Université inter-âge offre aux adultes qui en ont le temps, la possibilité de venir «encore» ou «enfin» se cultiver. Ce phénomène de société touche au moins 250 000 personnes dans toute la France. Pourquoi cet engouement pour le retour sur les bancs de l’Université?

L’espérance de vie s’est considérablement allongée. La retraite, voire la préretraite, marquant la cessation des activités professionnelles, libère des hommes et des femmes encore jeunes – 60 / 65 ans – des contraintes de la vie dite active: enfin, on a le temps, et ce temps, on a le souci de le remplir le plus intelligemment possible. La connaissance, quels que soient l’âge et la formation initiale de chacun, est le seul moyen d’élever son esprit et de cultiver à la fois sa personnalité et sa sociabilité.

Les cours proposés sontils les mêmes que ceux que suivent les «vrais» étudiants, ceux qui entrent à l’université pour préparer leur avenir et en sortent avec des diplômes qui sont censés leur ouvrir les portes de la vie active? Les amphithéâtres des facultés de Lettres, de Droit, de Médecine, de Sciences... voientils s’asseoir côte à côte le grandpère et le petitfils tout juste bachelier? L’université a compris que la course aux diplômes et à la réussite, avec le stress qu’elle engendre, n’est plus de mise pour ces étudiants d’un «autre âge». Si l’on fréquente l’université, ce n’est plus par obligation mais par plaisir, qui rime avec désir, et l’on s’y presse le jour de la rentrée solennelle (et pourquoi pas festive!). Voir des centaines de personnes — et les effectifs connaissent un rajeunissement certains — assises sur les bancs des «amphis», debout, massées dans les escaliers ou les entrées faute de places, ne saurait laisser indifférent. Les conférences succèdent aux cours, les ateliers aux labos : la littérature étrangère ou française, la philosophie, les arts, l’histoire des sociétés ou des civilisations, l’astronomie et la géologie... L’étudiant de l’université inter âge court vers la culture et, avec le même bonheur, vers les terrains de golf, les chemins de randonnées, les salles de gymnastique ou de yoga.

L’Université inter-âges n’auraitelle pas repris les recettes de Montaigne pour «faire un homme de bien»: «ce n’est pas assez de lui raidir l’âme, il lui faut aussi raidir les muscles»? Mais n’estil pas vrai que ces étudiants ont «encore» et «enfin» le temps pour le faire.

Les études ne sont plus réservées aux jeunes et les facultés françaises ouvrent leurs portes aux plus âgés. L’Université inter-âge offre aux adultes qui en ont le temps, la possibilité de venir «encore» ou «enfin» se cultiver. Ce phénomène de société touche au moins 250 000 personnes dans toute la France. Pourquoi cet engouement pour le retour sur les bancs de l’Université?

L’espérance de vie s’est considérablement allongée. La retraite, voire la préretraite, marquant la cessation des activités professionnelles, libère des hommes et des femmes encore jeunes – 60 / 65 ans – des contraintes de la vie dite active: enfin, on a le temps, et ce temps, on a le souci de le remplir le plus intelligemment possible. La connaissance, quels que soient l’âge et la formation initiale de chacun, est le seul moyen d’élever son esprit et de cultiver à la fois sa personnalité et sa sociabilité.

Les cours proposés sontils les mêmes que ceux que suivent les «vrais» étudiants, ceux qui entrent à l’université pour préparer leur avenir et en sortent avec des diplômes qui sont censés leur ouvrir les portes de la vie active? Les amphithéâtres des facultés de Lettres, de Droit, de Médecine, de Sciences... voientils s’asseoir côte à côte le grandpère et le petitfils tout juste bachelier? L’université a compris que la course aux diplômes et à la réussite, avec le stress qu’elle engendre, n’est plus de mise pour ces étudiants d’un «autre âge». Si l’on fréquente l’université, ce n’est plus par obligation mais par plaisir, qui rime avec désir, et l’on s’y presse le jour de la rentrée solennelle (et pourquoi pas festive!). Voir des centaines de personnes – et les effectifs connaissent un rajeunissement certains – assises sur les bancs des «amphis», debout, massées dans les escaliers ou les entrées faute de places, ne saurait laisser indifférent. Les conférences succèdent aux cours, les ateliers aux labos : la littérature étrangère ou française, la philosophie, les arts, l’histoire des sociétés ou des civilisations, l’astronomie et la géologie... L’étudiant de l’université inter âge court vers la culture et, avec le même bonheur, vers les terrains de golf, les chemins de randonnées, les salles de gymnastique ou de yoga.

L’Université inter-âges n’auraitelle pas repris les recettes de Montaigne pour «faire un homme de bien»: «ce n’est pas assez de lui raidir l’âme, il lui faut aussi raidir les muscles»? Mais n’estil pas vrai que ces étudiants ont «encore» et «enfin» le temps pour le faire.

Les études ne sont plus réservées aux jeunes et les facultés françaises ouvrent leurs portes aux plus âgés. L’Université inter-âge offre aux adultes qui en ont le temps, la possibilité de venir «encore» ou «enfin» se cultiver. Ce phénomène de société touche au moins 250 000 personnes dans toute la France. Pourquoi cet engouement pour le retour sur les bancs de l’Université?

L’espérance de vie s’est considérablement allongée. La retraite, voire la préretraite, marquant la cessation des activités professionnelles, libère des hommes et des femmes encore jeunes – 60 / 65 ans – des contraintes de la vie dite active: enfin, on a le temps, et ce temps, on a le souci de le remplir le plus intelligemment possible. La connaissance, quels que soient l’âge et la formation initiale de chacun, est le seul moyen d’élever son esprit et de cultiver à la fois sa personnalité et sa sociabilité.

Les cours proposés sontils les mêmes que ceux que suivent les «vrais» étudiants, ceux qui entrent à l’université pour préparer leur avenir et en sortent avec des diplômes qui sont censés leur ouvrir les portes de la vie active? Les amphithéâtres des facultés de Lettres, de Droit, de Médecine, de Sciences... voientils s’asseoir côte à côte le grandpère et le petitfils tout juste bachelier? L’université a compris que la course aux diplômes et à la réussite, avec le stress qu’elle engendre, n’est plus de mise pour ces étudiants d’un «autre âge». Si l’on fréquente l’université, ce n’est plus par obligation mais par plaisir, qui rime avec désir, et l’on s’y presse le jour de la rentrée solennelle (et pourquoi pas festive!). Voir des centaines de personnes – et les effectifs connaissent un rajeunissement certains – assises sur les bancs des «amphis», debout, massées dans les escaliers ou les entrées faute de places, ne saurait laisser indifférent. Les conférences succèdent aux cours, les ateliers aux labos : la littérature étrangère ou française, la philosophie, les arts, l’histoire des sociétés ou des civilisations, l’astronomie et la géologie... L’étudiant de l’université inter âge court vers la culture et, avec le même bonheur, vers les terrains de golf, les chemins de randonnées, les salles de gymnastique ou de yoga.

L’Université inter-âges n’auraitelle pas repris les recettes de Montaigne pour «faire un homme de bien»: «ce n’est pas assez de lui raidir l’âme, il lui faut aussi raidir les muscles»? Mais n’estil pas vrai que ces étudiants ont «encore» et «enfin» le temps pour le faire.

Les études ne sont plus réservées aux jeunes et les facultés françaises ouvrent leurs portes aux plus âgés. L’Université inter-âge offre aux adultes qui en ont le temps, la possibilité de venir «encore» ou «enfin» se cultiver. Ce phénomène de société touche au moins 250 000 personnes dans toute la France. Pourquoi cet engouement pour le retour sur les bancs de l’Université?

L’espérance de vie s’est considérablement allongée. La retraite, voire la préretraite, marquant la cessation des activités professionnelles, libère des hommes et des femmes encore jeunes – 60 / 65 ans – des contraintes de la vie dite active: enfin, on a le temps, et ce temps, on a le souci de le remplir le plus intelligemment possible. La connaissance, quels que soient l’âge et la formation initiale de chacun, est le seul moyen d’élever son esprit et de cultiver à la fois sa personnalité et sa sociabilité.

Les cours proposés sontils les mêmes que ceux que suivent les «vrais» étudiants, ceux qui entrent à l’université pour préparer leur avenir et en sortent avec des diplômes qui sont censés leur ouvrir les portes de la vie active? Les amphithéâtres des facultés de Lettres, de Droit, de Médecine, de Sciences... voientils s’asseoir côte à côte le grandpère et le petitfils tout juste bachelier? L’université a compris que la course aux diplômes et à la réussite, avec le stress qu’elle engendre, n’est plus de mise pour ces étudiants d’un «autre âge». Si l’on fréquente l’université, ce n’est plus par obligation mais par plaisir, qui rime avec désir, et l’on s’y presse le jour de la rentrée solennelle (et pourquoi pas festive!). Voir des centaines de personnes – et les effectifs connaissent un rajeunissement certains – assises sur les bancs des «amphis», debout, massées dans les escaliers ou les entrées faute de places, ne saurait laisser indifférent. Les conférences succèdent aux cours, les ateliers aux labos : la littérature étrangère ou française, la philosophie, les arts, l’histoire des sociétés ou des civilisations, l’astronomie et la géologie... L’étudiant de l’université inter âge court vers la culture et, avec le même bonheur, vers les terrains de golf, les chemins de randonnées, les salles de gymnastique ou de yoga.

L’Université inter-âges n’auraitelle pas repris les recettes de Montaigne pour «faire un homme de bien»: «ce n’est pas assez de lui raidir l’âme, il lui faut aussi raidir les muscles»? Mais n’estil pas vrai que ces étudiants ont «encore» et «enfin» le temps pour le faire.

(1) Qui sont ces tagueurs et autres graffiteurs? (2) Contrairement à ce qu’on croit, ce ne sont pas des exclus, encore moins de dangereux activistes. (3) La plupart sont des adolescents (APPARTENIR)________ à la classe moyenne, ils (VIVRE)________ au centre-ville, rarement dans les banlieues défavorisées. (4) Ils ont entre 15 et 24 ans, la majorité d’entre eux (ÊTRE)________ lycéens ou étudiants, la pratique du tagage culmine entre 16 et 18 ans. (5) Leur point commun: le goût de la provocation, plaisir aussi du cachecache avec la police. (6) Mais depuis que les autorités ont (DÉCLARER)________ la guerre aux tagueurs, l’activité (DEVENIR)________ très risquée en raison des sanctions pénales de plus en plus lourdes. (7) Ce qui ne les (EMPÊCHER)________ pas de braver les interdits pour continuer à faire (PARLER)________ les murs de nos villes.

D’après Michel Heurteaux, Les Clés, n^o 545.

(1) Qui sont ces tagueurs et autres graffiteurs? (2) Contrairement à ce qu’on croit, ce ne sont pas des exclus, encore moins de dangereux activistes. (3) La plupart sont des adolescents (APPARTENIR) ________ à la classe moyenne, ils (VIVRE) ________ au centre-ville, rarement dans les banlieues défavorisées. (4) Ils ont entre 15 et 24 ans, la majorité d’entre eux (ÊTRE) ________ lycéens ou étudiants, la pratique du tagage culmine entre 16 et 18 ans. (5) Leur point commun: le goût de la provocation, plaisir aussi du cachecache avec la police. (6) Mais depuis que les autorités ont (DÉCLARER) ________ la guerre aux tagueurs, l’activité (DEVENIR) ________ très risquée en raison des sanctions pénales de plus en plus lourdes. (7) Ce qui ne les (EMPÊCHER) ________ pas de braver les interdits pour continuer à faire (PARLER) ________ les murs de nos villes.

D’après Michel Heurteaux, Les Clés, n∘ 545.

(1) Qui sont ces tagueurs et autres graffiteurs? (2) Contrairement à ce qu’on croit, ce ne sont pas des exclus, encore moins de dangereux activistes. (3) La plupart sont des adolescents (APPARTENIR) ________ à la classe moyenne, ils (VIVRE) ________ au centre-ville, rarement dans les banlieues défavorisées. (4) Ils ont entre 15 et 24 ans, la majorité d’entre eux (ÊTRE) ________ lycéens ou étudiants, la pratique du tagage culmine entre 16 et 18 ans. (5) Leur point commun: le goût de la provocation, plaisir aussi du cachecache avec la police. (6) Mais depuis que les autorités ont (DÉCLARER) ________ la guerre aux tagueurs, l’activité (DEVENIR) ________ très risquée en raison des sanctions pénales de plus en plus lourdes. (7) Ce qui ne les (EMPÊCHER) ________ pas de braver les interdits pour continuer à faire (PARLER) ________ les murs de nos villes.

D’après Michel Heurteaux, Les Clés, n∘ 545.

Le goût de la provocation

(1) Qui sont ces tagueurs et autres graffiteurs? (2) Contrairement à ce qu’on croit, ce ne sont pas des exclus, encore moins de dangereux activistes. (3) La plupart sont des adolescents (APPARTENIR)________ à la classe moyenne, ils (VIVRE)________ au centre-ville, rarement dans les banlieues défavorisées. (4) Ils ont entre 15 et 24 ans, la majorité d’entre eux (ÊTRE)________ lycéens ou étudiants, la pratique du tagage culmine entre 16 et 18 ans. (5) Leur point commun: le goût de la provocation, plaisir aussi du cachecache avec la police. (6) Mais depuis que les autorités ont (DÉCLARER)________ la guerre aux tagueurs, l’activité (DEVENIR)________ très risquée en raison des sanctions pénales de plus en plus lourdes. (7) Ce qui ne les (EMPÊCHER)________ pas de braver les interdits pour continuer à faire (PARLER)________ les murs de nos villes.

D’après Michel Heurteaux, Les Clés, n^∘ 545.

(1) Qui sont ces tagueurs et autres graffiteurs? (2) Contrairement à ce qu’on croit, ce ne sont pas des exclus, encore moins de dangereux activistes. (3) La plupart sont des adolescents (APPARTENIR) ________ à la classe moyenne, ils (VIVRE) ________ au centre-ville, rarement dans les banlieues défavorisées. (4) Ils ont entre 15 et 24 ans, la majorité d’entre eux (ÊTRE) ________ lycéens ou étudiants, la pratique du tagage culmine entre 16 et 18 ans. (5) Leur point commun: le goût de la provocation, plaisir aussi du cachecache avec la police. (6) Mais depuis que les autorités ont (DÉCLARER) ________ la guerre aux tagueurs, l’activité (DEVENIR) ________ très risquée en raison des sanctions pénales de plus en plus lourdes. (7) Ce qui ne les (EMPÊCHER) ________ pas de braver les interdits pour continuer à faire (PARLER) ________ les murs de nos villes.

D’après Michel Heurteaux, Les Clés, n∘ 545.

(1)Qui sont ces tagueurs et autres graffiteurs? (2)Contrairement à ce qu’on croit, ce ne sont pas des exclus, encore moins de dangereux activistes. (3)La plupart sont des adolescents (APPARTENIR)________ à la classe moyenne, ils (VIVRE)________ au centre-ville, rarement dans les banlieues défavorisées. (4)Ils ont entre 15 et 24 ans, la majorité d’entre eux (ÊTRE)________ lycéens ou étudiants, la pratique du tagage culmine entre 16 et 18 ans. (5)Leur point commun: le goût de la provocation, plaisir aussi du cachecache avec la police. (6)Mais depuis que les autorités ont (DÉCLARER)________ la guerre aux tagueurs, l’activité (DEVENIR)________ très risquée en raison des sanctions pénales de plus en plus lourdes. (7)Ce qui ne les (EMPÊCHER)________ pas de braver les interdits pour continuer à faire (PARLER)________ les murs de nos villes.

D’après Michel Heurteaux, Les Clés, n 545.

(1) Qui sont ces tagueurs et autres graffiteurs? (2) Contrairement à ce qu’on croit, ce ne sont pas des exclus, encore moins de dangereux activistes. (3) La plupart sont des adolescents (APPARTENIR) ________ à la classe moyenne, ils (VIVRE) ________ au centre-ville, rarement dans les banlieues défavorisées. (4) Ils ont entre 15 et 24 ans, la majorité d’entre eux (ÊTRE) ________ lycéens ou étudiants, la pratique du tagage culmine entre 16 et 18 ans. (5) Leur point commun: le goût de la provocation, plaisir aussi du cachecache avec la police. (6) Mais depuis que les autorités ont (DÉCLARER) ________ la guerre aux tagueurs, l’activité (DEVENIR) ________ très risquée en raison des sanctions pénales de plus en plus lourdes. (7) Ce qui ne les (EMPÊCHER) ________ pas de braver les interdits pour continuer à faire (PARLER) ________ les murs de nos villes.

D’après Michel Heurteaux, Les Clés, n∘ 545.

(1) Dégradation, pollution visuelle pour les uns, modes d’expression futuristes pour les autres, tapage et graffitage ont de toute façon mauvaise réputation. (2) Bus, trains, métros, façades d’immeubles, cages d’escalier... pratiquement pas une surface qui n’échappe aux graffitis. (3) Ces inscriptions sauvages, (CLANDESTIN)________, faites à la bombe de peinture, prolifèrent dans le paysage urbain, (VÉRITÉ)________ phénomène de société.

(4) Originaire des milieux rap et hip hop américains, le tag a fait son (APPARAÎTRE)________ en France au début des années 1980. (5) (CONTRAIRE) ________ au graffiti, qui recourt à des techniques picturales très élaborées, le tag est une signature anonyme, spontanée, le plus souvent (COMPRÉHENSIBLE)________. (6) Nouveau mode d’expression à la conquête de l’espace urbain? (7) Les tags, et dans une (PETIT)________ mesure les graffs, ont en tout cas mauvaise réputation. (8) Pour beaucoup, c’est de la pollution visuelle, du vandalisme, synonymes de violence urbaine et d’insécurité.

D’après Michel Heurteaux, Les Clés, n∘ 545.

(1) Dégradation, pollution visuelle pour les uns, modes d’expression futuristes pour les autres, tapage et graffitage ont de toute façon mauvaise réputation. (2) Bus, trains, métros, façades d’immeubles, cages d’escalier... pratiquement pas une surface qui n’échappe aux graffitis. (3) Ces inscriptions sauvages, (CLANDESTIN)________, faites à la bombe de peinture, prolifèrent dans le paysage urbain, (VÉRITÉ)________ phénomène de société.

(4) Originaire des milieux rap et hip hop américains, le tag a fait son (APPARAÎTRE)________ en France au début des années 1980. (5) (CONTRAIRE)________ au graffiti, qui recourt à des techniques picturales très élaborées, le tag est une signature anonyme, spontanée, le plus souvent (COMPRÉHENSIBLE)________. (6) Nouveau mode d’expression à la conquête de l’espace urbain? (7) Les tags, et dans une (PETIT)________ mesure les graffs, ont en tout cas mauvaise réputation. (8) Pour beaucoup, c’est de la pollution visuelle, du vandalisme, synonymes de violence urbaine et d’insécurité.

D’après Michel Heurteaux, Les Clés, n^o 545.

(1) Dégradation, pollution visuelle pour les uns, modes d’expression futuristes pour les autres, tapage et graffitage ont de toute façon mauvaise réputation. (2) Bus, trains, métros, façades d’immeubles, cages d’escalier... pratiquement pas une surface qui n’échappe aux graffitis. (3) Ces inscriptions sauvages, (CLANDESTIN)________, faites à la bombe de peinture, prolifèrent dans le paysage urbain, (VÉRITÉ)________ phénomène de société.

(4) Originaire des milieux rap et hip hop américains, le tag a fait son (APPARAÎTRE)________ en France au début des années 1980. (5) (CONTRAIRE)________ au graffiti, qui recourt à des techniques picturales très élaborées, le tag est une signature anonyme, spontanée, le plus souvent (COMPRÉHENSIBLE)________. (6) Nouveau mode d’expression à la conquête de l’espace urbain? (7) Les tags, et dans une (PETIT)________ mesure les graffs, ont en tout cas mauvaise réputation. (8) Pour beaucoup, c’est de la pollution visuelle, du vandalisme, synonymes de violence urbaine et d’insécurité.

D’après Michel Heurteaux, Les Clés, n∘ 545.

Tags et graffs: art ou vandalisme?

(1) Dégradation, pollution visuelle pour les uns, modes d’expression futuristes pour les autres, tapage et graffitage ont de toute façon mauvaise réputation. (2) Bus, trains, métros, façades d’immeubles, cages d’escalier... pratiquement pas une surface qui n’échappe aux graffitis. (3) Ces inscriptions sauvages, (CLANDESTIN)________, faites à la bombe de peinture, prolifèrent dans le paysage urbain, (VÉRITÉ)________ phénomène de société.

(4) Originaire des milieux rap et hip hop américains, le tag a fait son (APPARAÎTRE)________ en France au début des années 1980. (5) (CONTRAIRE)________ au graffiti, qui recourt à des techniques picturales très élaborées, le tag est une signature anonyme, spontanée, le plus souvent (COMPRÉHENSIBLE)________. (6) Nouveau mode d’expression à la conquête de l’espace urbain? (7) Les tags, et dans une (PETIT)________ mesure les graffs, ont en tout cas mauvaise réputation. (8) Pour beaucoup, c’est de la pollution visuelle, du vandalisme, synonymes de violence urbaine et d’insécurité.

D’après Michel Heurteaux, Les Clés, n^∘ 545.

(1) Dégradation, pollution visuelle pour les uns, modes d’expression futuristes pour les autres, tapage et graffitage ont de toute façon mauvaise réputation. (2) Bus, trains, métros, façades d’immeubles, cages d’escalier... pratiquement pas une surface qui n’échappe aux graffitis. (3) Ces inscriptions sauvages, (CLANDESTIN)________, faites à la bombe de peinture, prolifèrent dans le paysage urbain, (VÉRITÉ)________ phénomène de société.

(4) Originaire des milieux rap et hip hop américains, le tag a fait son (APPARAÎTRE)________ en France au début des années 1980. (5) (CONTRAIRE)________ au graffiti, qui recourt à des techniques picturales très élaborées, le tag est une signature anonyme, spontanée, le plus souvent (COMPRÉHENSIBLE)________. (6) Nouveau mode d’expression à la conquête de l’espace urbain? (7) Les tags, et dans une (PETIT)________ mesure les graffs, ont en tout cas mauvaise réputation. (8) Pour beaucoup, c’est de la pollution visuelle, du vandalisme, synonymes de violence urbaine et d’insécurité.

D’après Michel Heurteaux, Les Clés, n 545.

(1) Dégradation, pollution visuelle pour les uns, modes d’expression futuristes pour les autres, tapage et graffitage ont de toute façon mauvaise réputation. (2) Bus, trains, métros, façades d’immeubles, cages d’escalier... pratiquement pas une surface qui n’échappe aux graffitis. (3) Ces inscriptions sauvages, (CLANDESTIN)________, faites à la bombe de peinture, prolifèrent dans le paysage urbain, (VÉRITÉ)________ phénomène de société.

(4) Originaire des milieux rap et hip hop américains, le tag a fait son (APPARAÎTRE)________ en France au début des années 1980. (5) (CONTRAIRE)________ au graffiti, qui recourt à des techniques picturales très élaborées, le tag est une signature anonyme, spontanée, le plus souvent (COMPRÉHENSIBLE)________. (6) Nouveau mode d’expression à la conquête de l’espace urbain? (7) Les tags, et dans une (PETIT)________ mesure les graffs, ont en tout cas mauvaise réputation. (8) Pour beaucoup, c’est de la pollution visuelle, du vandalisme, synonymes de violence urbaine et d’insécurité.

D’après Michel Heurteaux, Les Clés, n∘ 545.

Le matin, en ouvrant leurs volets, les habitants de la place de Saint-Emilion à Bordeaux ont été surpris et ils se sont (A) ________ les yeux, pour s'assurer qu'ils étaient bien réveillés: des grappes de raisin pendaient aux arbres de la place. Une hallucination collective, dans cette ville où le vignoble et les vendanges occupent tous les (B) ________? Non! En allant y voir (C) ________, ils ont constaté que (D) ________ grappes étaient en plastique! Un outrage pour toute la commune, capitale mondiale du bon vin. (E) ________ n'a rien entendu. Il faut dire que le vent a soufflé assez fort cette nuit. Les gendarmes sont venus constater les faits et la municipalité a fait nettoyer la place. Une question reste posée: y a-t-il un rapport entre les grappes en plastique de SaintEmilion et les appareils cassés (F) ________ ont été retrouvés, (G) ________matin, pendus aux arbres de l'esplanade des Quinconces?

Le matin, en ouvrant leurs volets, les habitants de la place de Saint-Emilion à Bordeaux ont été surpris et ils se sont (A)________ les yeux, pour s'assurer qu'ils étaient bien réveillés: des grappes de raisin pendaient aux arbres de la place. Une hallucination collective, dans cette ville où le vignoble et les vendanges occupent tous les (B)________? Non! En allant y voir (C)________, ils ont constaté que (D)________ grappes étaient en plastique! Un outrage pour toute la commune, capitale mondiale du bon vin. (E)________ n'a rien entendu. Il faut dire que le vent a soufflé assez fort cette nuit. Les gendarmes sont venus constater les faits et la municipalité a fait nettoyer la place. Une question reste posée: y a-t-il un rapport entre les grappes en plastique de SaintEmilion et les appareils cassés (F)________ ont été retrouvés, (G)________ matin, pendus aux arbres de l'esplanade des Quinconces?

Le matin, en ouvrant leurs volets, les habitants de la place de Saint-Emilion à Bordeaux ont été surpris et ils se sont (A)________ les yeux, pour s'assurer qu'ils étaient bien réveillés: des grappes de raisin pendaient aux arbres de la place. Une hallucination collective, dans cette ville où le vignoble et les vendanges occupent tous les (B)________? Non! En allant y voir (C)________, ils ont constaté que (D)________ grappes étaient en plastique! Un outrage pour toute la commune, capitale mondiale du bon vin. (E)________ n'a rien entendu. Il faut dire que le vent a soufflé assez fort cette nuit. Les gendarmes sont venus constater les faits et la municipalité a fait nettoyer la place. Une question reste posée: y a-t-il un rapport entre les grappes en plastique de SaintEmilion et les appareils cassés (F)________ ont été retrouvés, (G)________ matin, pendus aux arbres de l'esplanade des Quinconces?

Le matin, en ouvrant leurs volets, les habitants de la place de Saint-Emilion à Bordeaux ont été surpris et ils se sont (A)________ les yeux, pour s'assurer qu'ils étaient bien réveillés: des grappes de raisin pendaient aux arbres de la place. Une hallucination collective, dans cette ville où le vignoble et les vendanges occupent tous les (B)________? Non! En allant y voir (C)________, ils ont constaté que (D)________ grappes étaient en plastique! Un outrage pour toute la commune, capitale mondiale du bon vin. (E)________ n'a rien entendu. Il faut dire que le vent a soufflé assez fort cette nuit. Les gendarmes sont venus constater les faits et la municipalité a fait nettoyer la place. Une question reste posée: y a-t-il un rapport entre les grappes en plastique de SaintEmilion et les appareils cassés (F)________ ont été retrouvés, (G)________ matin, pendus aux arbres de l'esplanade des Quinconces?

Le matin, en ouvrant leurs volets, les habitants de la place de Saint-Emilion à Bordeaux ont été surpris et ils se sont (A) ________ les yeux, pour s'assurer qu'ils étaient bien réveillés: des grappes de raisin pendaient aux arbres de la place. Une hallucination collective, dans cette ville où le vignoble et les vendanges occupent tous les (B) ________? Non! En allant y voir (C) ________, ils ont constaté que (D) ________ grappes étaient en plastique! Un outrage pour toute la commune, capitale mondiale du bon vin. (E) ________ n'a rien entendu. Il faut dire que le vent a soufflé assez fort cette nuit. Les gendarmes sont venus constater les faits et la municipalité a fait nettoyer la place. Une question reste posée: y a-t-il un rapport entre les grappes en plastique de SaintEmilion et les appareils cassés (F) ________ ont été retrouvés, (G) ________matin, pendus aux arbres de l'esplanade des Quinconces?

Le matin, en ouvrant leurs volets, les habitants de la place de Saint-Emilion à Bordeaux ont été surpris et ils se sont (A) ________ les yeux, pour s'assurer qu'ils étaient bien réveillés: des grappes de raisin pendaient aux arbres de la place. Une hallucination collective, dans cette ville où le vignoble et les vendanges occupent tous les (B) ________? Non! En allant y voir (C) ________, ils ont constaté que (D) ________ grappes étaient en plastique! Un outrage pour toute la commune, capitale mondiale du bon vin. (E) ________ n'a rien entendu. Il faut dire que le vent a soufflé assez fort cette nuit. Les gendarmes sont venus constater les faits et la municipalité a fait nettoyer la place. Une question reste posée: y a-t-il un rapport entre les grappes en plastique de SaintEmilion et les appareils cassés (F) ________ ont été retrouvés, (G) ________matin, pendus aux arbres de l'esplanade des Quinconces?

Le matin, en ouvrant leurs volets, les habitants de la place de Saint-Emilion à Bordeaux ont été surpris et ils se sont (A)________ les yeux, pour s'assurer qu'ils étaient bien réveillés: des grappes de raisin pendaient aux arbres de la place. Une hallucination collective, dans cette ville où le vignoble et les vendanges occupent tous les (B)________? Non! En allant y voir (C)________, ils ont constaté que (D)________ grappes étaient en plastique! Un outrage pour toute la commune, capitale mondiale du bon vin. (E)________ n'a rien entendu. Il faut dire que le vent a soufflé assez fort cette nuit. Les gendarmes sont venus constater les faits et la municipalité a fait nettoyer la place. Une question reste posée: y a-t-il un rapport entre les grappes en plastique de SaintEmilion et les appareils cassés (F)________ ont été retrouvés, (G)________ matin, pendus aux arbres de l'esplanade des Quinconces?